"Pour n'être pas les esclaves martyrisés du Temps, enivrez-vous; Enivrez-vous sans cesse ! De vin, de poésie ou de vertu, à votre guise." Charles Baudelaire
mercredi 31 décembre 2014
jeudi 25 décembre 2014
Du bonheur pour les oreilles : la voix d'Eddie Vedder sur Ocean
Mes oreilles pleurent de bonheur. Simplement la voix d'Eddie Vedder sur "Oceans".Ce mec a une des plus belles voix du rock... ça colle des frissons!
Pour jeter une oreille, c'est par là!
Tout chaud tout croustillant : Marilyn Manson - Deep Six
Quand le Dark Lord revient... wow c'est bon!
mercredi 3 décembre 2014
Clip qui tue : Roy Kafri - Mayokero
Plus encore que le CD, on sait que le vinyle est un support génial pour l'expression musicale, bien sûr, mais aussi pour l'expérimentation artistique. Des artistes s'éclatent à imaginer l'envers des pochettes, à mettre en scène une cover... mais Roy Kafri et le réalisateur Vania Heymann vont encore plus loin : ils animent les pochettes de certains des vinyles les plus emblématiques de l'histoire de la musique.
Vraiment énorme.
Sequins et Télécaster - Emilie Simon en concert.
Il y a deux types de concerts. Ceux que j'attends comme une morfale des mois à l'avance, en mode hystérique dès que j'entends l'annonce de l'artiste (récemment les Dandy Warhols, qui ont eu la super idée de passer en ville le jour de mon anniversaire ^^, ou John Butler Trio "Oh mon dieu, oh mon dieu, mais elle est où cette foutue carte bleue!) et il y a les concerts du ''Allez tiens, pourquoi pas!".
La dernière fois que j'avais vu Emilie Simon, c'était il y a presque dix ans, aux Artefacts, coincée entre les feu AS Dragon, et Yann Tiersen (official). Déjà à l'époque, j'avais adoré. J'écoutais son album Végétale, et je trouvais que sa voix était juste sublime, douce et sucrée à souhait. Elle était divine, avec un petit diadème, jouant avec des installations bizarres pour faire des sons, comme un bol avec de l'eau, ou un gong, disséminés autour d'elle. Ce vendredi-là, j'avais quelque chose de prévu, qui est tombé à l'eau. Alors j'ai cherché. Et je me suis dit ''Ah ben tiens, allons-y!". Encore une fois j'ai adoré.
Encore une fois la douce Emilie nous a tous emmenés dans son univers, fait de bidouillages, et de poésie, nous jouant des petites pépites de toute sa carrière. On a retrouvé des morceaux tout chauds, mais aussi des extraits de Végétale, de The Big Machine. Des morceaux qui sont à chaque fois une petite histoire, une ambiance particulière, parfois pêchus, parfois mélancoliques. C'est beau, c'est triste, ça donne le sourire, tout ça à la fois.
Surtout que pour l'occasion, elle s'était entourée d'un backing band looké comme un groupe qui animait les bals de promo dans les années 50. Et elle, belle à tomber dans un fourreau à sequins dorés, et tellement rock'n'roll quand elle a passé la sangle de sa télécaster. Un beau moment de magie donné par une fée. Le genre d'occasion qui vous fait aimer que vos plans tombent à l'eau.
La dernière fois que j'avais vu Emilie Simon, c'était il y a presque dix ans, aux Artefacts, coincée entre les feu AS Dragon, et Yann Tiersen (official). Déjà à l'époque, j'avais adoré. J'écoutais son album Végétale, et je trouvais que sa voix était juste sublime, douce et sucrée à souhait. Elle était divine, avec un petit diadème, jouant avec des installations bizarres pour faire des sons, comme un bol avec de l'eau, ou un gong, disséminés autour d'elle. Ce vendredi-là, j'avais quelque chose de prévu, qui est tombé à l'eau. Alors j'ai cherché. Et je me suis dit ''Ah ben tiens, allons-y!". Encore une fois j'ai adoré.
Encore une fois la douce Emilie nous a tous emmenés dans son univers, fait de bidouillages, et de poésie, nous jouant des petites pépites de toute sa carrière. On a retrouvé des morceaux tout chauds, mais aussi des extraits de Végétale, de The Big Machine. Des morceaux qui sont à chaque fois une petite histoire, une ambiance particulière, parfois pêchus, parfois mélancoliques. C'est beau, c'est triste, ça donne le sourire, tout ça à la fois.
Surtout que pour l'occasion, elle s'était entourée d'un backing band looké comme un groupe qui animait les bals de promo dans les années 50. Et elle, belle à tomber dans un fourreau à sequins dorés, et tellement rock'n'roll quand elle a passé la sangle de sa télécaster. Un beau moment de magie donné par une fée. Le genre d'occasion qui vous fait aimer que vos plans tombent à l'eau.
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